Synopsis
New York Années 2000, Alex Rose et Nancy Kendricks sont de jeunes tourtereaux. Lui a écrit un premier roman et doit achever le deuxième, elle travaille pour un magazine. Tous deux veulent acheter un appartement pour être plus à leur aise dans un espace plus grand. Un agent immobilier leur trouve à Brooklyn un beau duplex. L’inconvénient est qu’au premier étage y vit mrs Connelly une vieille dame âgée. Mais pour Alex et Nancy c’est l’appartement de leur rêve. D’autant que mrs Connelly semble bien gentille et inoffensive…
CRITIQUE
Danny DeVito avec « La guerre des Rose » (« The war of the Roses« ) (1989) avait frappé les esprits.
Avec « Un duplex pour 3 » il donne l’impression de vouloir réitérer l’exploit. Si la comédie à quelques aspects sympathiques : Une méchanceté gratuite, une quasi absence de vulgarité (une scène à l’hôpital est cependant assez limite dans le genre), et des acteurs plutôt en forme. Mais c’est au final insuffisant faute à un scénario trop artificiel et comportant quelques grosse ficelles. C’est aussi la faute à une réalisation assez plate.
Le film reste plaisant à suivre mais n’a pas la puissance narrative de « La guerre des Rose » qui reste une véritable mécanique implacable. Ici l’histoire finit par rapidement tourner en rond et certains enchaînements des scènes ne sont pas suffisamment crédibles.
Danny DeVito avait portant trouvé la petite vieille idéale pour ce rôle plein de perversités. Eileen Essell est la moins connue des trois têtes d’affiche néanmoins c’est elle qui assure le spectacle.
David Newman ne se foule pas vraiment pour l’illustration musicale.
LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE
La perte rocambolesque de l’ordinateur d’Alex contenant le tapuscrit de son nouveau roman. Incroyable mais hilarant.
L’ANECDOTE
Danny DeVito a pour le moment tourné 6 films pour le cinéma. « Balance maman hors du train » (1987) est le premier, « Un duplex pour 3 » (2003) étant (provisoirement) le dernier.
NOTE : 12/20
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