Synopsis

Il y a 8 mois Gabe Walker sauveteur en montagne a vécu un drame, en voulant sauver une jeune femme, et son ami, il perd celle-ci mal accrochée alors que pendue à un filin entre deux rochers, son harnachement lâche. Malgré la tentative de Gabe, elle chute dans le vide. 1993 un avion contenant plusieurs centaines de millions de dollars est pris d’assaut par des pirates. Mais ils échouent et l’argent sécurisé dans des mallettes renforcées est dispersé dans la montagne…

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CRITIQUE 

Tout cela n’est pas très crédible mais qu’importe, « Cliffhanger » a pour but de rassembler un maximum de spectateur autour d’un film d’action.
Le méchant est réussi: il est très méchant. Un peu calqué sur le méchant de « Piège de cristal » (1988) de John McTiernan. D’ailleurs ce film est le digne descendant des « Piège de cristal« , « Arme fatale » et « Randonnée pour un tueur« .

Les gentils sont malins et ne meurent pas. Le spectateur suit les péripéties de cette chasse au trésor contrariée sans aucun déplaisir.
Le lendemain il en aura certainement oublié les tenants et les aboutissants, mais aura passé deux heures de bon temps.

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Sylvester Stallone met moins en avant ses biceps qu’à l’accoutumée et cela repose. John Lithgow en ordure patentée mérite le détour par ce film.
Les invraisemblances s’accum… moncellent! Mais fi! L’entertenmaint fonctionne à plein!

Renny Harlin fait une mise en scène impersonnelle mais efficace. Il a rencontré quelques soucis techniques de netteté de l’image et de neige artificielle. Heureusement l’action l’emporte sur ces inconvénients.

Le tout accompagné d’une bonne musique de Trevor Jones qui n’en fait pas des tonnes dans le tonitruant.

 

LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE

La bagarre entre Gabe Walker et un des malfrats dans une grotte. L’image d’indestructible de Stallone en prend un coup car son personnage est à deux doigts d’y passer. Il trouve un geste ultime pour sauver sa peau et quel geste!

L’ANECDOTE

« Cliffhanger » peine aux Etats-Unis à couvrir les frais de production. Il est sauvé par une excellente distribution à l’étranger. C’est un peu la malédiction du réalisateur Renny Harlin qui cherche le carton qui puisse le hisser au niveau de John McTiernan ou de James Cameron.

NOTE : 12/20

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