Synopsis

Le conservateur Jacques Saunière est assassiné par un moine dans le Louvre alors que celui-ci est fermé au public. Le professeur de symbologie Robert Langdon est à Paris en séance de dédicaces de son nouveau livre. Quand un inspecteur de police lui demande de cesser ses activités futiles pour se rendre au Louvre où gît le cadavre du conservateur avec lequel il devait avoir un tête à tête prévu dans les heures futures. Sur place il est attendu par le commissaire Fache, très suspicieux en son encontre…

CRITIQUE

Premier volet cinématographique signé Ron Howard des aventures rocambolesques de Robert Langdon tiré du deuxième roman de Dan Brown ayant pour héros le symbologiste.

Le bouquin a suscité polémique car il touche au sacré : la sexualité de Jésus Christ. Mais c’est aussi un carton international. Les ventes sont faramineuses. Et l’adaptation au cinéma était quasiment inévitable.

Si l’on arrive à s’extirper du fatras religieux, il en ressort un thriller honnête avec moult décors et servi par des acteurs jouant leur partition avec conviction dirigés par un Ron Howard toujours sans génie mais au service du film.

Tom Hanks est plutôt bon dans le rôle de l’enquêteur qui résout ses problèmes par la réflexion et la résolution d’énigmes. C’et plus compliqué pour Audrey Tautou, peut-être un peu écrasée par les enjeux.

Le problème le plus handicapant est le discours autour de la religion catholique où tous les chemins semblent mener à Rome (en l’occurrence au graal). C’est assez brouillon, peu convaincant et parfois même ennuyeux.

Le film contient cependant des scènes d’action assez nombreuses et spectaculaires pour permettre au spectateur de maintenir son intérêt pour le film et son dénouement.

La musique de Hans Zimmer ressemble beaucoup à du bruit dans les deux premiers tiers du film pour enfin trouver une mélodie très réussie lorsque apparaît le personnage de sir Leigh Teabing interprété par Ian McKellen.

LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE  

L’arrivée au Louvre de Robert Langdon. La magie du musée parisien opère à plein. Le musée après « Belphégor, le fantôme du Louvre » (2001) de Jean-Paul Salomé ouvre ses portes aux tournages de films. Cette politique sera de plus en plus mise en place avec des tournages de clips et de séries télévisées.

L’ANECDOTE

Le musée après Belphégor ouvre ses portes aux tournages de films. Cette politique sera de plus en plus mise en place avec des tournages de clips et de séries télévisées. Les œuvres trop fragiles ou à « risque » comme la Joconde pour « Da Vinci Code » sont remplacées par des copies ou des images de synthèse.

NOTE : 11/20

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