Synopsis

Santa Barbara, Californie années 2000 Jane Adler est une femme accomplie elle possède une boulangerie  pâtisserie et a trois grands enfants deux filles et et un garçon. Ce dernier va bientôt recevoir son diplôme universitaire d’une université de New York. Jane est divorcée de Jake depuis 10 ans.
Lors de la remise du diplôme de leur fils, Jake et Jane se retrouvent dans le même hôtel. Et après une soirée très agréable et arrosée Jake et Jane se retrouvent dans la chambre de Jane et redeviennent amants. Jake aimerait reprendre sa vie de couple avec Jane. Il l’avait quittait pour Agness bien plus jeune que lui, mais il s’avère que c’est un tyran domestique. De plus le couple a des soucis de fertilité…

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CRITIQUE

Heureusement que les deux stars du film ont un charisme qui emporte tout.

Car la comédie est terne.
Pourtant Nancy Meyers qui en est à sa cinquième comédie et quatrième comédie romantique en tant que scénariste et réalisatrice devrait chercher à s’émanciper de plus en plus des carcans hollywoodiens. Or c’est tout le contraire. Tout est pesé, calibré. Rien ne dépasse. Et d’un coup l’ennui devant ce joli objet lisse et propret nous investit.

Alec Baldwin et avec sa surcharge pondérale et son sex-appeal décuplé parvient de temps en temps à nous arracher quelques sourires.
Meryl Streep montre qu’elle est capable par son unique présence à faire d’une scène tartignole un art de l’interprétation. Mais que d’efforts pour un résultat si pauvre.
Steve Martin est de plus à côté de la plaque.
John Krasinski qui joue celui qui voit tout s’en sort peut-être le mieux.

Dans ce film l’amour conjugal devient presque une corvée, et l’adultère la source de tous les maux.
Résultat la comédie est rabat-joie, et l’on se demande qu’a bien voulu nous dire Nancy Meyers avec un film si peu sexy.

Le duo de musicien Heitor Pereira et Hans Zimmer n’aident guère à faire décoller la chose avec une musique assez fade.

 

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LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE

Dîner romantique entre Adam et Jane.  Au menu : croque monsieur! C’est pas romantique ça?

L’ANECDOTE

Nancy Meyers a écrit des scénarios pour d’autres réalisateurs avant qu’elle ne réalise elle même. Par exemple entre autres « La bidasse » (« Private Benjamin« ) (1980) de Howard Zieff, « Baby boom » (1987) de Charles Shyer et « Les complices » (« I love trouble« ) (1994) de Charles Shyer.

NOTE : 09/20

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