Synopsis

Paris années 2010, Simon Carerra est un cambrioleur. Il jongle entre les petits larcins dans les hôtels de luxe et sa liberté conditionnelle. Mais son ami Albert lui propose un gros coup. Le vol d’un diamant (le Florentin) qui sera exposé à Anvers pour être vendu aux enchères. Effectivement, à quelques semaines de la vente la responsable de l’exposition décède dans un accident de voiture. C’est sa fille Julia Neuville qui reprend le flambeau…

CRITIQUE

Très bonne première heure pour ce film qui s’étiole peu à peu au fil des minutes à partir de la tentative de vol. La faute à un scénario qui veut trop en mettre plein la vue par des rebondissements incessants mais parfois (pas tout le temps) prévisibles.
La tentative de vol est plutôt abracadabrantesque et lorgne par sa complexité vers « Ocean’s eleven » version Steven Soderbergh en beaucoup moins bien.

Le couple Bérénice Béjo – Yvan Attal fonctionne plutôt bien.

La réalisation est élégante et rend hommage aux acteurs qui sont filmés entre le plan rapproché taille et le gros plan.

Bonne musique de Renaud Barbier (frère du réalisateur) qui m’a fait penser par son orchestration à celle de Michel Legrand pour « L’affaire Thomas Crown » (1968).

LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE

On nous explique que le Florentin a été retrouvé dans un lustre noyé au milieu de 99 autres répliques en cristal. Cependant à vue d’œil le lustre en contient bien plus de 100. Patatras!

L’ANECDOTE

La vente aux enchères du diamant (présenté seul) est inspirée par maître François Tajan un des plus célèbre commissaire-priseur au monde et conseiller sur le scénario du film.

NOTE : 12/20

Video & Photo

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