rueducine.com-peter-o-tooleNé dans le Connemara, le jeune irlandais Peter Seamus O’Toole se rend dans le Yorkshire et travaille à 16 ans à Leeds comme journaliste. Parallèlement il suit des cours de théâtre. Puis encouragé par un ami il se rend à Londres pour y suivre les cours de l’Académie Royale d’Art Dramatique.
Après quelques rôles au théâtre et à la télévision, il a le temps de faire trois seconds rôles au cinéma qu’ il est remarqué par David Lean et le producteur Sam Spiegel qui ne trouvent pas d’acteurs pour incarner le rôle principal dans « Lawrence d’Arabie » (1962). Après deux années de tournage le film sort et triomphe en salle.
La carrière de Peter O’Toole est lancée. Il Obtiendra quelques grands rôles de comédie « Comment voler un million de dollars » (1966) de William Wyler ou de drames « La nuit des généraux » (« The night of the generals« ) (1967) de Anantole Litvak et « Le lion en hiver » (« The lion in winter ») (1968) de Anthony Harvey.
Mais sa carrière souffre un peu de son tempérament fantasque.
On le remarquera dans « La guerre de Murphy » (« Murphy’s war« ) de Peter Yates (1971). « Rosebud » (1975) de Otto Preminger. Il fera quelques apparitions comme par exemple dans l’inénarrable « Caligula » (1979) de Tinto Brass film érotico-porno-peplum avec un casting ahurissant : John Gielgud, Malcom McDowell, Helen Mirren…
On le verra aussi dans « Supergirl » (1984) de Jeannot Szwarc, et dans « Le dernier empereur » (1987) de Bernard Bertolucci et dans « Troie » (2004) de Wolfgang Petersen.
C’est l’acteur qui a reçu le plus de nominations (7) aux Oscars sans jamais recevoir la moindre statuette. En 2007  il reçoit quand même un Oscar d’honneur.rueducine.com-Peter-o-toole-2007

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