Synopsis

Los Angeles fin des années 1990, Wilson vient de sortir de 9 ans de prison en Angleterre. Il rentre aux États-Unis avec pour seul but venger la mort de sa fille Jenny. Au moment de sa mort elle avait une liaison avec un dénommé Terry Valentine. Wilson débarque dans un entrepôt louche et chahute les malabars qui bossent dans l’entrepôt pour avoir des renseignements sur ce Terry Valentine. Après s’être fait rosser et éjecter, il retourne dans l’entrepôt et les flingue tous sauf un qui dira à Jim Avery (homme de main de Terry Valentine) qu’un type cherche Terry Valentine pour lui faire la peau…

CRITIQUE

Steven Soderbergh allie un scénario classique de vengeance avec un montage kaléidoscopique.

C’est clinquant, rutilant, brillant mais c’est aussi efficace!

Le casting n’y est pas pour rien.
Terence Stamp est impressionnant en homme déterminé et fonceur.
Peter Fonda est tout aussi charismatique en magnat du disque à la conscience pas très nette.
Barry Newman en « nettoyeur » n’a rien à envier au deux premier.
Quant à Luis Guzman grand second rôle américain il est toujours au top.

Excellente B.O. signée Cliff Martinez mais aussi et surtout quelques perles du Rock comme « The seeker » des Who ou « It happens each day » des Byrds. Un régal.

LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE

Wilson s’introduit chez Valentine lors d’une réception et dérobe d’un cadre, la photo de sa fille Jenny. Valentine est prévenu!

L’ANECDOTE

Dans son film Steven Soderbergh introduit des images du film « Pas de larmes pour Joy » de Ken Loach sorti en 1967. Terence Stamp jouait le rôle d’un jeune truand anglais nommé Dave. Dans le scénario de « L’anglais » Wilson se prénommait Dave. Une suite naturelle?

NOTE : 15/20

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