Synopsis

Lors d’une enquête au plus proche du suspect, l’inspecteur Alex Cross, profiler, est à la manœuvre et c’est sa coéquipière qui joue l’appât. Mais le suspect finit par comprendre que la femme qui est dans sa voiture est policière. S’en suit un accident au niveau d’une retenue d’eau. Quand Alex Cross arrive sur le lieux la voiture tombe au pied du barrage.  Alex Cross se met en retrait de la police. Dans le même temps Gary Soneji, un professeur, enlève une élève fille d’un sénateur. Il appelle Alex Cross et a placé dans sa boite aux lettres une chaussure de la petite fille. Il l’invite ainsi à mener l’enquête, Soneji est joueur…

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CRITIQUE

De la part de Lee Tamahori on aurait pu attendre un peu plus, ou un peu mieux.

Mais cela reste un film policier efficace qui bénéficie surtout du charisme indéniable de Morgan Freeman toujours parcimonieux dans ses effets et donc efficace et impeccable.

Pour cette deuxième enquête de l’inspecteur Alex Cross après « Le collectionneur » (« Kiss the girls« ) (1997) de Gary Fleder, j’ai regretté la fin qui nous dirige vers des méchants certes inattendus mais qui nous tombent dessus un peu comme un cheveu tombe dans la soupe. Sans réelle nécessité, ni explication convaincante.

Conserver le même méchant et lui donner plus d’ampleur de nuisance eut été meilleur.

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Cependant l’enquête est distrayante et rempli son contrat comme distraction pour un public familial.

Par contre Lee Tamahori n’apporte rien de personnel dans sa réalisation. Elle sert le récit mais pas le film qui ressemble à tout autre film policier lambda.

A côté de Morgan Freeman le casting ne brille pas vraiment. Seul Michael Wincott parvient à se hisser à peu près au niveau de jeu de l’acteur principal.

La musique de Jerry Goldsmith n’est pas de ses meilleures. Mais rien d’indigne non plus.

 

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LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE 

La mort de l’équipière d’Alex Cross au tout début du film. Rapide et spectaculaire.

L’ANECDOTE 

Troisième film hollywoodien du réalisateur néo-zélandais qui s’est fait connaître par son film « L’âme des guerriers » (« Once were warriors« ) (1994) qui fait un tabac au festival de Venise.

NOTE : 13/20

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2 Comments

  1. boiti 1 septembre 2023

    si la cible principale du kidnappeur était le fils de l'ambassadeur russe, pourquoi ne l'a-t-il pas kidnappé au départ en utilisant la même procédure que pour la petite rose ????

  2. littlebigxav 11 septembre 2023

    Peut-être faut-il poser la question à monsieur Marc Moss qui a écrit le scénario (d'après un roman de James Patterson). A rueducine.com nous n'avons pas la réponse!