Synopsis

Elektra King fille d’un magnat du pétrole a été enlevée par des terroristes contre rançon.  Après paiement, James Bond est sur la trace de l’argent à Bilbao (Espagne). Bond la récupère en échappant à un sniper. Quant à Elektra elle a  réussi à s’échapper des mains de ses ravisseurs. Rentré à Londres alors que Robert King ouvre la mallette pleine d’argent, celle-ci piégée explose tuant le magnat. Depuis un hors bord sur la Tamise une tueuse tente de supprimer James Bond par une brèche faite par l’explosion dans le bâtiment du MI6. Bond pourchasse la femme qui se sentant prise se suicide. M qui connaît Elektra depuis son enfance, décide d’envoyer 007 comme garde du corps de l’héritière de l’empire King…

CRITIQUE

Si ce film de la saga James Bond a quelques superbes atouts, il a de terribles tares qui font qu’il fait partie de ceux que l’on oublie.

Parmi les atouts:  la grosse course poursuite sur la Tamise avec une bellissima Maria Grazia Cucinotta flingueuse de cuir rouge vêtue.

Autre atout, un des meilleurs gadgets de la saga: les lunettes qui permettent de voir le métal à travers les fringues.
Le film bénéficie aussi d’ un beau générique sur une chanson de Garbage.

Parmi les tares un casting de méchants assez faible.
Si Sophie Marceau s’en tire moyennement, Robert Carlyle m’est apparu complètement à côté de la plaque, pas impressionnant pour un sou! Pour un psychopathe terroriste c’est pas folichon.


Une qui m’a bien fait peur c’est Denise Richards tellement elle est épouvantable dans son rôle de scientifique nucléaire en short! Quand elle apparaît le film est définitivement sabordé. Comment ont-ils pu choisir cette non-actrice? Cela relève de la faute professionnelle et de goût de la part de la directrice de casting Debbie McWilliams que je n’hésite pas à dénoncer.

Pierce Brosnan n’y peut mais! Il fait ce qu’il peut le bougre pour surnager dans cette mélasse.

Le soundtrack signé David Arnold est plutôt inspiré. La chanson de générique de Garbage n’entre pas au Panthéon des chansons de de la saga 007, mais elle ne démérite pas pour autant.

 

LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE

La scène d’ouverture du film avec une course poursuite de hors-bord sur la Tamise.

L’ANECDOTE

Le titre du film reprend la devise du blason de la famille Bond que l’on voit dans « Au service secret de sa majesté » « On her Majesty’s secret service » (1969) de Peter Hunt.

NOTE : 10/20

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