Synopsis

En France dans les années 1970, Roger Pilard dit  » l’Alpagueur » est mi-flic, mi-chasseur de prime qui travaille en secret pour le gouvernement est appelé à rechercher et arrêter « L’Epervier » un tueur en série qui sous le prétexte de cambriolages à visage découvert, tue ses victimes et ses complices. L’Alpagueur entre en contact avec Costa Valdes un jeune délinquant qui a échappé à l’Epervier. Ensemble ils s’évadent de prison pour retrouver L’Epervier…

CRITIQUE

Ce film de Philippe Labro est le deuxième film de la collaboration Labro/Belmondo après « L’héritier » (1973) qui était d’inspiration italienne et lorgnait vers Francesco Rosi.

« L’alpagueur » fait plus référence à Sam Peckinpah et à l’entertainment américain.
Pari moyennement réussi.

C’est un bon divertissement mais le film souffre d’un éparpillement des intrigues et perd de son rythme, ainsi que de vue l’objet du film c’est-à-dire la chasse à « l’Epervier » qui se résume au dernier quart d’heure.
Jean-Paul Belmondo est très à son aise dans ce personnage de flic libre de quasi toutes contraintes.

Bonne musique de Michel Colombier.
Avec en prime un hommage à Ennio Morricone tandis que Philippe Labro en fait autant pour Sergio Leone dans la scène finale de l’avion.

 

Ce film est recensé dans la page : LE FILM POLICIER ET LE THRILLER FRANÇAIS DE 1945 à 2015.

 

LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE

L’Alpagueur poursuit à pied un camion dans lequel Valdes Costa est retenu prisonnier. Essoufflant. Jean-Paul Belmondo fait la cascade avec une cheville foulée!

L’ANECDOTE

Jean Paul Belmondo producteur et acteur et Philippe Labro réalisateur ont été déçus par les résultats d’entrées du film. Même s’il n’a pas été un bide, il n’a pas atteint le quota espéré.

NOTE : 12/20

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