Synopsis

Paris fin des années 1970, début 1980. L’antigang et la police territoriale se disputent l’arrestation d’un dangereux gangster. Suite à une manœuvre douteuse du commissaire Ballestrat de la police territoriale qui fait intervenir la police de quartier alors que les hommes du commissaire Fush s’apprêtent à interpeller Hector Sarlat, un de ces derniers est tué par le malfaiteur qui s’enfuit par les toits. Le chef de la police convoque tout ce beau monde pour les sermonner et leur demander de coopérer et d’arrêter au plus vite l’individu dangereux…

CRITIQUE

Deuxième film de Robin Davis et c’est un franc succès.
Un scénario écrit à dix mains (toutes spécialistes du genre) assez solide, même si de-ci-de-là on peut regretter quelques faiblesses.

Le film s’inspire des tensions qui existaient au sein des services de la police française dans les années 1970.

Les interprétations de François Périer, Claude Rich et de Claude Brasseur sont phénoménales.

Le film bénéficie d’une réalisation solide même si aujourd’hui on peut trouver qu’elle manque de nerf, et d’une musique qui rend hommage aux films noirs français des années 1950 signée Jean-Marie Sénia.

Bref un polar comme on les aime.

 

Ce film est recensé dans la page : LE FILM POLICIER ET LE THRILLER FRANÇAIS DE 1945 à 2015.

LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE

Les deux commissaires utilisent leurs informateurs et chacun de manière peu déontologique, l’un Ballestrat détruisant l’outil de travail de son indic, l’autre Fush lui faisant un monte-le-coup, le menaçant de l’envoyer en prison pour un fait qu’il n’a pas commis.

L’ANECDOTErueducine.com-cesar

Claude Brasseur reçoit un César pour sa performance.

NOTE : 14/20

Video & Photo

10 photos

Write a comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *